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(Tout) ce qui (nous) reste : la première

(Tout) ce qui (nous) reste se lance sur scène !

Dernièrement, il n’y a que le Purgatoire qui est plein. Au Paradis et en Enfer, il n’y a plus personne

Elle et Lui s'aiment mais leur amour ne leur suffit plus. Pièce mi-figurative, mi-abstraite, (Tout) ce qui (nous) reste dévoile le flux de conscience d’une vie à deux habituelle - et pourtant extraordinaire.
Pour retrouver le feu du début et ne pas être condamnés à consommer l’ennui de leur amour, Elle et Lui font d’abord appel à Eros. Le Dieu du Sexe, psychologue, explique qu’il leur avait autrefois attribué une flamme, c’était à eux d’entretenir l’étincelle.
Déçus mais déterminés, Elle et Lui s’adressent à Thanatos : mieux vaut mourir ensemble plutôt que de vivre un amour quotidien. Toutefois, le Dieu de la Mort, trafiquant d’êtres humains, estime que leur histoire d’amour n’est pas suffisamment remarquable pour se terminer en tragédie.
Désespérés, Elle et Lui demandent à Cupidon de pouvoir retomber amoureux l’un de l’autre. Le Dieu de l’Amour, l’enfant qu’ils n’ont pas encore eu, accepte de lancer ses flèches mais, aveugle de naissance, il ne peut pas assurer que les flèches tombent sur eux. Des questions sans réponses. Des réponses silencieuses. Puis, au crépuscule, l’appel à la mythologie parce que l’Homme ne veut pas manger les restes de sa propre assiette.


 INFORMATIONS 
Les mardis 7 et 21 février à 21h, les mardis 14 et 28 mars à 19h
Réservez vite en cliquant sur ce lien.

❄️Vacances de février : programmation pour les plus jeunes❄️
Trinidad - Pour que tu t'aimes encore : les premières